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29 déc. 2006
Suite entre autre au manifeste de ce site, il semble que le bureau du CTF ait décidé de bouger un peu et commence à prendre de meilleures orientations avec une assemblée extraordinaire provoquée, un site Internet prévu, et cinq lignes sur les étiquettes des Basses-Pyrénées dans le dernier bulletin.
Donc nous pouvons constater une évolution dans le bon sens... à suivre !
Assemblée Générale du 29 oct. 2006
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21 déc. 2006 COLLECTIONNEUR. -- Depuis cinq ans, Marc Landreau récupère les emballages des plaquettes et mottes de beurre. Un travail de fourmi qui lui a permis de retracer l'histoire des laiteries de la région -- Son petit bonheur est dans le beurre : Laurie Bosdecher
Marc Landreau aime le beurre mais le consomme avec modération. Ce qui l'intéresse, ce sont les vieux emballages qui témoignent d'une riche activité artisanale dans le passé Un ancien soudeur qui collectionne des papiers de beurre. Où est l'erreur ? Marc Landreau a bien été durant une partie de sa vie soudeur, précédemment forgeron agricole à Pouillac près de Montlieu-la-Garde. Depuis qu'il est à la retraite, c'est-à-dire depuis cinq ans, il se passionne pour ces emballages qui dans la plupart des ménages, une fois la plaquette ou la motte consommée, vont directement à la poubelle. « Je suis un butyrupapiphiliste », clame-t-il. A la lettre B des dictionnaires, pas de butyru... machin truc. Il faut aller dans les bibles des collectionneurs pour trouver la signification du terme qui effectivement désigne le collectionneur de papiers de beurre. Ils ne sont qu'une poignée comme lui en France. A moins d'être amoureux de la matière grasse ou d'avoir travaillé toute sa vie dans une laiterie, difficile en effet d'imaginer un quelconque citoyen terrestre s'intéresser à ce sujet. « Ma fille collectionnait les opercules des pots de yaourts et de fromages. Je me suis dit pourquoi ne pas me lancer dans le beurre », explique-t-il. Papiers dorés et argentés. L'homme a approvisionné ses grands classeurs de 450 emballages. « Je n'ai pas mangé tous les contenus, je surveille mon cholestérol », précise-t-il. Marc Landreau ne se contente pas des papiers récents. Il court brocantes et salons, rencontre anciens laitiers pour trouver son bonheur. Ses étiquettes argentées et dorées révèlent mille et une histoires sur les anciennes laiteries de la région. « Il y en avait beaucoup jusque dans les années 60. Après, beaucoup ont fermé », raconte-t-il. Ses plus anciennes trouvailles remontent aux années 50. Sur les emballages sulfurisés ou en aluminium paissent des vaches sur fond verdoyant. Les caractères imitent des lettres écrites à la plume. Et chaque étiquette se doit d'afficher toutes les médailles obtenues. Celui du beurre de Fontbouillant de Montguyon affiche ainsi en 1955 32 médailles d'or, 55 vermeil et mentionne « beurre superflu sans mélange ». « Cela signifiait qu'il était fabriqué à partir du lait de vaches du même canton. Aujourd'hui, les origines ne veulent plus dire grand chose. Quand on pense que le beurre de Baignes part en Haute-Garonne pour être écrémé puis traverse la moitié de la France pour être transformé en beurre en Vendée... » Le Royal d'Aunis en 5 kg. Le Super beurre de la vallée de la Seugne, fabriqué au moulin d'Issac à Clion, les Noisettes des Charentes, du Gua, la Fontaine des Veuves, de Saint-Pierre-de-l'Isle, les beurres de Chadenac, Chepniers, Villars-en-Pons ont disparu depuis belle lurette ou leur marque a été absorbée par de plus grandes laiteries. La fabrication de beurres artisanaux n'est plus aussi abondante qu'avant mais la collection de Marc Landreau témoigne d'une activité encore assez conséquente dans le département. Il n'a ainsi eu aucun mal à retrouver les emballages du Royal d'Aunis fabriqué à Courçon et encore vendu en motte de 5 kg ou ceux du beurre de Surgères sel, demi-sel ou doux. « Au delà de ces jolis papiers, j'aime cette collection, car elle me permet de voir l'évolution des moeurs. Regardez, avant il n'y avait aucun code sur les étiquettes. Maintenant, c'est truffé de sigles pour le recyclage, le code barre, l'appellation, l'identifiant européen. En revanche, les couleurs or et argent sont restées sur les emballages. »
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15 déc. 2006
Un mini site sur le département de l'Aisne : |
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10 déc. 2006
Le responsable de l'animation à l'Office de Tourisme de Royat-Chamalières (banlieue de Clermont-Ferrand) recherche un exposant d'étiquettes de fromages pour agrémenter sa semaine thématique sur le fromage, qui se déroulera du 23 au 29 avril 2007.
Si quelqu'un est intéressé pour
exposer, vous pouvez vous adressez à :
animation.ot.royat@wanadoo.fr |
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01 nov. 2006
EXPOSITION DE MICHELLE MANGIN ANNULÉE MALHEUREUSEMENT ET REPORTÉE SANS DOUTE L'ANNÉE PROCHAINE
contact : mmtyro@wanadoo.fr |
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29 sept. 2006
A cette liste, nous imaginons qu'il faut ajouter tous les mécontents qui ont déjà quitté le club, ainsi que ceux qui ne veulent pas y adhérer pour ces raisons précises.
Pour une autre composition du CTF et une vision différente du club : webmestre
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24 sept. 2006
La première exposition d'étiquettes de camembert de Françoise Camus-Deharbe , férue tyrosémiophile du nord de la France, se tiendra du 27 septembre jusqu'au 31 octobre à la bibliothèque de Soissons (02) contact : fcamus.deharbe@wanadoo.fr |
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23 sept. 2006
L’Enilia de Surgères (17) fondée par Pierre Dornic en 1906 fête ses 100 ans du 12 au 15 octobre 2006 Des expositions retraçant la vie des laiteries de cette région sont prévues avec de nombreuses participations dont celle de notre "tyro-babigeot-national" Marcel Gousseau ainsi que Jean-Jacques Gratadoux qui expose sept planches de tyrosèmes dont deux sur les personnages historiques. 12 oct : 14h-17h 13 oct : 7h-19h 14 oct : 7h-19h
ENILIA - Avenue F. Mitterrand - 17700 Surgères - Tél : 05 46 27 69 00 |
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31 août 2006
un lien bien sympathique : |
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22 août 2006
Jean-Pierre, fondu d'étiquettes de fromage (source : granville.maville.com)
Jean-Pierre Sabat, 68 ans, est atteint de tyrosémiophilie ! Ce n'est pas une maladie. C'est une passion. Celle de collectionner les étiquettes de fromage.
Vous possédez 25 000 étiquettes de fromage. C'est beaucoup ! D'où vous vient cette passion ? J'ai commencé cette collection il y a 16 ans. Des problèmes de santé m'ont contraint à cesser mon travail assez tôt. Pour m'occuper, j'ai commencé à classer les étiquettes de fromage que ma femme conservait. Et puis, je me suis laissé prendre au piège. Aujourd'hui, je suis membre du club national de tyrosémiophilie et de trois associations, à Granville, Bréhal et Vire. Je participe à de nombreuses bourses et je fréquente aussi les foires aux vieux papiers. Mais dans l'ensemble, je préfère échanger qu'acheter.
Comment détermine-t-on la valeur d'une étiquette ? C'est un peu à la tête du client. Ca va de 0,20 centime d'euros à 200 €. En 1996, j'ai sollicité une fromagerie pour obtenir l'étiquette d'un Livarot. On m'en réclamait 60 F. J'ai laissé tomber. Trois mois plus tard, je l'ai trouvé dans une bourse d'échange.
Quel est l'intérêt de collectionner toutes ces étiquettes ? C'est avant tout pour la beauté du graphisme. Les dessins, les couleurs, les mentions spéciales évoluent au fil des années. Moi, je les classe par thème : les femmes, les couples, les vaches, les chats, les coqs... Il y a aussi des variantes avec des mentions spéciales, des offres de réduction, des cadeaux à gagner... Regardez cette pièce, n'est-elle pas magnifique ? Sa conception remonte à la première guerre mondiale.
Dans les magasins, vous passez toujours par le rayon fromage ? A ça oui alors ! Vu que j'en mange matin, midi et soir. J'achète systématiquement les nouveautés. Elles peuvent sortir tous les 15 jours ou une fois par an. Cela dépend aussi du distributeur. Leclerc ou Leader Price n'ont pas les mêmes produits. Je jette aussi un coup d'oeil au rayon découpe car, souvent, les étiquettes de tomme ou de saint-nectaire sont très jolies.
Votre collection peut-elle encore s'étoffer ? 25 000 étiquettes, c'est peu. Je connais un Suisse qui en possède 170 000, mais sa collection est internationale. Moi, je me limite aux fromages français. J'ai juste un petit classeur consacré aux produits étrangers et un autre à la Vache qui rit. Mais la Vache qui rit, c'est tellement prisé, que c'est très dur à acquérir." Propos recueillis par Catherine Lemesle |
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21 mai 2006 |
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Le livre "Mille et une ETIQUETTES DE FROMAGE" ne paraîtra pas en 2006 mais en 2007 |
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16 mai 2006 A l'occasion de la présentation du tableau "L'Angélus" de Millet dans l'émission "D'art d'Art", France 2 donne l'occasion de faire découvrir aux téléspectateurs l'étiquette "Camembert de l'Angélus"
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03 mai 2006
"Un siècle d'industrie laitière en
Ille-et-Vilaine, beurreries, laiteries, fromageries de 1850 à 1950" au Carré Sévigné - 1 boulevard de Dézerseul - entrée et parking gratuits dans le cadre du 7ème congrès généalogique de Bretagne
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02 mai 2006 «Je suis d’origine normande, tout s’explique » ironise-t-il. Le Salon est pour lui l’occasion d’assouvir sa « manie » Depuis plus d’un quart de siècle, Marc Chapellière, 41 ans, collectionne et archive les étiquettes de fromage. Au gré des stands, il glane ces précieux morceaux de papier de toutes les formes, selon l’inspiration des peintres et designers. Il en possède déjà plusieurs dizaines de milliers « récupérées au hasard ». Une modeste collection, selon lui. « Il y a des moments de ma vie où je m’en suis davantage occupé. » Pourtant, il appartient au club CTF, dont les membres se rencontrent plusieurs fois par an, notamment pour la grande messe de septembre. Le modèle dont il est le plus fier ? Celui du Poilu : « Il s’agit de l’étiquette d’un camembert avec la tête d’un soldat de la guerre 14-18. Il en existe deux versions, je les possède toutes ! » Cette passion demeure solitaire. Jusqu’à présent les collectionneurs s’échangeaient leurs précieuses vignettes, sans trop se connaître. Avec Internet, les étiquettes se monnaient désormais « entre deux et 150, voire 200 euros. » Sur le Salon, Marc ne vient pas que pour l’emballage, mais aussi pour « l’ambiance, les rencontres et, bien sûr goûter les bons fromages en amateur. » Marc Chapellière recherche les étiquettes de fromage
qui pourront
compléter sa collection. |
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03 avril 2006 Les 10ème fêtes caprines du Val de Drôme sont de retour avec le printemps
le
dimanche 23 avril à LA REPARA-AURIPLES (26)
- La filière caprine Drôme/Ardèche
: démonstrations et dégustations.
- L’artisanat caprin - Les
produits de terroir : vins, miel, pain, charcuterie… avec Coralie Danchin – Institut de l’élevage - Dégustations sensorielles : Paul le Mens
- DIAPORAMA « LES ETIQUETTES DE
FROMAGE DE CHEVRE » par Etienne de Banville.
- déambulations dansées l Les
chèvres facétieuses - Patrice
chèvres chauds et assiettes de terroir à la buvette. |
22 mars 2006 expo sur le lait et ses dérivés à la bibliothèque de Chatenay-Malabry (92) du lundi 13/03 au vendredi 07/04 avec la participation de Lionel Gaudefroy
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22 mars 2006 Toujours pas d'excuses de Mr Dervin (dépt 51) pour son plagiat du site "letyrosemiophile.com" et du travail de Mr Caqueret
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25 fév. 2006 Article de 9 pages consacré à la tyrosémiophilie dans "Collection Magazine" de mars 2006 en vente dans tous les bureaux de presse.
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20 fév. 2006 SORTIE DU LIVRE D'ETIENNE DE BANVILLE LE 13 MARS:
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Passionné par la fabrication du fromage, Etienne de Banville s'est pendant plusieurs années penché sur la fourme de Montbrison et la fourme d'Ambert, leurs appellations, les techniques fromagères, les familles et groupes laitiers ainsi que leur devenir, deux fromages qui entrent désormais dans une nouvelle ère. Et le petit plus, de nombreuses étiquettes de fromage (N&B) ! Normal pour un tyrosémiophile.
Sortie effective en mars 2006 |
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17 fév. 2006 Article trouvé sur "l'avenir agricole" n°1235 du 17 février 2006
Le tyrosémiophile, une bête rare ? Non : il collectionne les
étiquettes de fromages. Mais c'est un drôle d'animal tout de même : suivez Une collection, ça prend de la place. Et ça prend de la vie : « C'est une passion », et c'est rien de le dire. Marcel Gousseau est intarissable. Sur la table de sa cuisine, à Mayenne, un courrier : il a reçu de nouvelles étiquettes le matin même, tandis qu'il vient d'écrire à la mairie d'un petit village d'Auvergne, Le Bézenet : « J'ai découvert qu'un fromage était fabriqué là-bas. » Son histoire d'amour avec les étiquettes de fromage a commencé en 1969 et n'a pas cessé depuis. 20 000 étiquettes de fromages français sont conservées précieusement, « une collection qui ne sort jamais de la maison ». Pourtant, s'excuse Marcel Gousseau, « j'ai des copains qui en ont 200 000... » Pour La Vache qui rit, il n'en a « que » 1 200 sur 5000. En 1969, donc, Marcel Gousseau étudiait à l'Ecole nationale de l'industrie laitière en Charente. Ce fils d'agriculteurs commença à garder des étiquettes. « Je les trouvais belles. » Et il chargeait ses camarades de lui en ramener de leur région d'origine. Puis, il a rejoint le Club tyro. de France, 1000 adhérents aujourd'hui. « Le vrai collectionneur ne vend pas d'étiquettes, il échange (1). » Pour cela, le Club est incontournable. A partir de ce moment, le plaisir du collectionneur évolue. Il ne s'agit plus seulement de garder une étiquette parce qu'elle est belle, mais parce qu'elle est rare. « On rêve toujours des anciennes » avoue Marcel Gousseau, celles du Poilu, par exemple. Ou alors, on veut une étiquette parce qu'elle complète une série, ou parce qu'un médaillon a changé. Et les médaillons changent souvent, avec des jeux ponctuels, des détails qui disparaissent dans le graphisme, etc. La réglementation aussi a fait évoluer les étiquettes. C'est même un outil de datation : la première étiquette comportant la teneur en matières grasses date de novembre 1935. « Le 0 % de matières grasses date d'après la guerre, quand on on avait besoin de beurre. » Les codes laiteries ont été attribués à partir de 1954, les départements « inférieurs » évoluent en 1955 : Charente- Maritime, Loire-Atlantique ont fait leur apparition. L'AOC a vu le jour en 1983 et la date spécifique de consommation est obligatoire depuis 1992. Tout ceci est précieux, comme le sont pour le collectionneur, ces étiquettes anciennes où pratiquement aucune de ces mentions ne sont inscrites. Par exemple, sur celle-ci, on lit simplement « Camembert normand », sur celle-là « Fromage - Fabriqué en Maine-et-Loire ». Au-delà du plaisir de garder de belles images, ce qui motive Marcel Gousseau, c'est ce que portent ces étiquettes : « Derrière, il y a l'histoire des laiteries. » C'est un voyage dans le temps, à l'époque où on utilisait un même modèle d'étiquettes pour vendre du Maroilles, du Vieux-Lille ou du Coulommiers. Dans sa quête d'étiquettes, cet ancien de chez Besnier a fait le tour des laiteries, des greniers. C'est la France, et ses 1 000 fromages, qui se retrouvent dans ses cahiers. Des cahiers témoins de l'évolution de l'industrie laitière, des entreprises qui ont disparu, de celles qui ont prospéré. A chaque page, une anecdote : « Il faut savoir qu'il s'est fabriqué du Livarot en Mayenne ! C'était à la laiterie du Genest-Saint-Isle, qui n'existe plus. » Quant à l'étiquette noire des Bons Mayennais, elle est rare parce qu'elle a été commercialisée très peu de temps. Le noir ne faisait pas vendre. Des Bons Mayennais qui s'appelaient autrefois Les Becs fins, mais qui ont du changer à cause d'un fromage qui s'appelait Fin bec. Cette quête de plaisirs n'est pas sans efforts. Pour la collection, on doit savoir faire des sacrifices : il faut en manger du camembert ! Ceux-ci finissent parfois au congélateur... 1- Chez le marchand, une étiquette rare peut atteindre 150 euros, « mais je n'ai jamais mis ce prix-là ! » assure Marcel Gousseau. Auteur : Rémy Hagel |
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9 janv. 2006 Une énigme résolue
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Cinq moulins tournaient autrefois à Tonneville sur le ruisseau Lucas. Le moulin "Ponthus" les remplaça. Ce grand bâtiment de trois étages était au départ une imposante et belle minoterie. Sa roue tournait encore en 1930 mais ne servait plus à moudre le grain. Après la première guerre mondiale, il a fourni de l'électricité aux villages de la Roque et d'Amfreville. Les Allemands y entreposèrent des vivres durant l'Occupation. D'après le site tonneville.fr, c'est en 1958 que cet ancien moulin fut tranformé en laiterie. Pourtant l'étiquette de camembert ci-contre date des années 1920-1930, ce fromage était peut-être fabriqué dans un autre moulin du bourg, comme peut le suggérer cet article du 25 août 1933 du journal "La Croix" :
Aujourd'hui, le bâtiment accueille des logements. source : http://www.tonneville.fr - rédaction : ED |
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05 janv. 2006 Laiterie de Monchelet Le gros travail de recherche et de rédaction de Mr Ternisien vient de se concrétiser par la parution d'une brochure de 66 pages retraçant l'historique de la laiterie de Monchelet (80) à travers plusieurs générations de fromagers.
Brochure carrée collée de 66 pages dont 10 couleurs et 21 étiquettes couleurs prix : 13,50 euros + 3 euros de frais de port soit 16,50 euros
Commande auprés de Jean - Marie Ternisien 17ter Rue de la Côte 92500 RUEIL MALMAISON contact : jeanmarie.t@wanadoo.fr |
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4 janv. 2006 Un témoignage clef
Ci-dessous, un article très intéressant que je viens de trouver sur la revue "le vieux papier" et datant d'avant la première guerre mondiale, de Henry Vivarez, un des tous premiers tyrosémiophiles. Il nous montre qui a fabriqué le premier camembert (d'après lui), nous explique les premiers emballages, les premières boites, comment il procède pour constituer sa collection...
Aucun tyrosémiophile vivant n'a connu cette époque, d'où l'importance de cet article.
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