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12
octobre 2012
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"LE VIEUX CHATEAU" bientôt
dans une série télévisée !
Valérie
Damidot et son équipe ont tourné pendant trois semaines au domaine viticole du
logis de Fontfroide un épisode de la série télévisée " Chez Bonnot ",
suite de "Victoire Bonnot".
La
date de diffusion sur M6 est annoncée entre novembre 2012 et janvier 2013.
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Valérie
Damidot incarne le rôle de Victoire Bonnot, qui veut devenir régisseur du
domaine viticole de Fontfroide et reconvertir le logis en chambres
d'hôtes. Pour les besoins du film, ce château
charentais du XVI° siècle devient
"Le
Domaine du PuyBarrel".
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"Le
domaine viticole a été un véritable coup de cœur, il nous fallait des
vieilles pierres, et il collait parfaitement à nos besoins, car il a
l’intérêt de posséder deux faces, afin que Madeleine et Victoire, vu leur mésentente,
habitent le même lieu sans être trop souvent en contact" argumente
Jean-Pierre Duséaux, le producteur.
Ce furent trois semaines intensives, tant pour l’équipe de la série, que
pour les viticulteurs et occupants des lieux. Patricia et Jean Croisard avaient du mal à reconnaître leur habitation. Reconstitution des chais,
réaménagement de certaines pièces du logis, loges, régie…. , un grand
chamboulement qui n’a pas pour autant perturbé Jeannine Croisard, la doyenne de
89 ans propriétaire de Fontfroide "C’est vrai que ça fait
beaucoup de monde d’un coup , mais autrefois le domaine était très
occupé , nous étions une grande famille et avec les employés nous arrivions
à être jusqu’à vingt personnes chaque jour autour de la table, et
puis les acteurs sont charmants, surtout Valérie qui de temps en temps
vient me faire la bise. J’ai accepté le tournage, pour mes enfants, mais
aussi pour valoriser ce patrimoine familiale acquis par mes parents".
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Dans
le film, le domaine appartient à Madeleine (Marie-Christine Adam), une comtesse
autoritaire, en conflit avec tout le village, mais surtout avec Victoire Bonnot
(Valérie Damidot), qui après avoir démissionné de l’éducation nationale
se reconvertit dans la viticulture en tant que régisseur, mais sa véritable
intention est de faire du social pour venir en aide aux jeunes en difficulté, cabossés par la vie.
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En
août 2012, le tournage de la série
a générée une centaine de figurants et employés Charentais, mais aussi
locaux. Bernadette et Jean-Pierre Vrignon ne sont pas des novices puisque
cela fait la cinquième fois qu’ils figurent dans des films, ici ils ont
joué les villageois, puis les vendangeurs et leurs rencontres avec les
acteurs sont toujours un plaisir. " L’Epiphyte", la cantine du
tournage qui a régalé entre 50 et 100 personnes chaque jour, était implantée
en pleine nature, prés des chais et face à un champ de maïs, un peu
comme une aire de pique-nique.
Patricia
et Jean Croisard ont
vécu cette aventure avec intensité : "Ce fut une expérience très
positive avec un échange entre deux cultures, la viticulture et le 7ème art."
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rédaction ED / sources :
Philippe
Rebeix de Sud-Ouest, Josette Rebeix de La Charente Libre, SARL Cousard
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29 septembre 2012
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Où sont passées les
fromageries de Haute-Saône ?
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12 septembre 2012
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Esternay (Marne) - Le tyrosémiophile
possède 7.000 étiquettes de boîtes de fromage
Daniel Cibois est un collectionneur dans l'âme. Sa passion, il
l'a découverte en se promenant sur les quais à Paris
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Daniel Cibois s’est trouvé, depuis quelques années,
une passion très originale. Il est tyrosémiophile, c’est-à-dire qu’il
collectionne les étiquettes de boîtes de fromage et tout ce qui se rapporte à
ceux-ci.
Originaire de
Normandie, Daniel Cibois est venu passer sa retraite à Esternay. Il a
vite adhéré au club Soleil d’automne pour se faire des amis et remplit
la tâche de trésorier.
« Un
jour, je me promenais sur les quais de Paris,
explique-t-il.
Et j’ai vu de
belles étiquettes accrochées à l’étalage d’un bouquiniste. J’ai discuté
avec ce dernier qui m’a indiqué l’adresse du club CTF (Club
tyrosémiophile de France) et j’ai commencé comme cela. »
Classées par
département
Aujourd hui, Daniel Cibois possède plus de 7.000 étiquettes. Elles sont
toutes classées par département. La première qu’il a récupérée
concernait un fromage normand, le livarot. Il est abonné au journal du
club des grands collectionneurs, ce qui lui permet de faire de multiples
échanges et des rencontres intéressantes. Même ses amis se prêtent au
jeu et lui rapportent de quoi compléter sa collection lorsqu’ils
reviennent de vacances…
« On
apprend beaucoup de choses aussi,
dit-il. Il
faut savoir que Marie Harel a fabriqué le premier camembert à Camembert,
un village du Calvados, et le premier de sa fabrication fut envoyé à
Napoléon en 1781 ! »
Finalement, avec un camembert, on refait
l’histoire et la géographie. « En
effet mon petit-fils s’amuse à m’aider et cela nous permet de réviser
nos connaissances sur les départements français. »
Daniel Cibois est même
parrain d’une vache nommée “Télécarte”. Et, pour s’amuser, il a créé
quelques classeurs en plus : rien ne se jette et il collectionne, sur un
second plan, les étiquettes de bouteilles d’eau, les marque-pages, les
étiquettes que l’on peut trouver sur les fruits et légumes, les cartes
de visite d’hôtels… Il garde également les sous-bocks de cafés et
commence à voir ses collections s’étoffer.
A ce jour, il
existerait près de 2.000 collectionneurs de boîtes d’emballage de
fromages. La recherche de la perle rare est toujours un but en soi.
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04 septembre 2012
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L’effigie du maire de
Camembert sur 100 000 boîtes de fromage
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Jean
Gaubert, maire de Camembert, dans l’Orne, est immortalisé sur une étiquette
de fromage, créée à son intention pour honorer ses cinquante ans de mandats.
L’initiative
de cette opération revient à Alain Trampoglieri, secrétaire général du
concours national de La Marianne d'Or, le « concours du bon usage de la démocratie
locale ».
Jean
Gaubert est élu au conseil municipal de Camembert depuis 41 ans (dont 23
années en tant que maire), auxquels La Marianne d’or ajoute neuf années de
mandats syndicaux et associatifs.
100 000
boîtes portant l’étiquette sont commandées dont une partie renfermera des
fromages de la production de François Durand, dernier producteur fermier du
village ornais de 200 habitants.
Ces
camemberts sont destinés à être distribués dans d’illustres maisons,
notamment l’Élysée, le Sénat ou l’Assemblée nationale…
source :
Ouest-France
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100 000
boîtes de camembert sont créées pour l’occasion.
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11
août 2012
Saint-André-de-la-Marche
(Maine et Loire)
Joël
Rocher, un Andréatain avec la passion du patrimoine

Portrait
Joël
Rocher, conseiller municipal et trésorier de la Société d'archéologie,
de généalogie et d'études de l'histoire andréataine, (SAGEHA) est un
Andréatain pure souche et épris de culture sous toutes ses formes.
Dans
son sous-sol, dans une pièce, sont disposées 3 000 étiquettes de
camembert environ, ainsi que quelques objets, témoins de son passé dans l'épicerie.
Joël
Rocher est né en 1946, fils d'un couple d'épiciers tenant boutique rue de
la Libération. « Je suis né dans l'épicerie », a-t-il confié. Joël se
souvient bien de ses parents qui, le mardi et le vendredi, partaient avec
leur cargaison de fruits et légumes, protégée par une bâche américaine
pour faire les marchés de Nantes, Montfaucon-sur-Moine et
Saint-Macaire-en-Mauges.
Enfant,
sitôt l'école terminée, il donnait un coup de main à ses parents qui ne
fermaient leur commerce que le dimanche après-midi. Il les accompagnait sur
le marché, pendant les vacances scolaires. À l'époque, il existait sept
épiceries dans la commune et, petit à petit, le commerce des époux Rocher
a pris de l'extension : de fruits et légumes, il passe à l'épicerie.
Enfant,
le moindre petit cadeau fait par un représentant, faisait le bonheur de Joël.
« On était content par des bonheurs simples », avoue-t-il et on ne peut
que l'approuver. À 20 ans, Joël reprend l'épicerie familiale, son père
étant décédé lorsqu'il avait 18 ans. Il est aidé par sa mère, alors âgée
de 51 ans et sa jeune sœur. Pour Joël, « c'était dur mais on avait une
clientèle agréable ». Et voici que, petit à petit, il garde les étiquettes
de camemberts et en fait une collection impressionnante car, 90 % des étiquettes
vantant les fromages, n'existent plus aujourd'hui.
Joël
possède des étiquettes en double et il est prêt à les échanger. La plus
vieille date des années 1940 et Joël les a classées par thème : les
oiseaux, les enfants, les personnages fantaisistes et d'autres encore. Les
deux Angevines, Dupont d'Isigny, les Prélats, Frère Clément et Père
Boniface, soit une infime partie de la collection, fleure le bon temps et
les souvenirs d'enfance reviennent, intacts et plein de fraîcheur.
Ouest-France
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15 juin 2012
"SE MEFIER DES CONTREFACONS"
La
renommée d'un produit attire forcément l'attention. Les petites marques
cherchant quelquefois à imiter de très près le produit vendeur du moment. Les
premières grandes marques de l'époque craignaient déjà la concurrence
déloyale et leurs pseudo-imitations.
Pour
prévenir le client, ces grandes marques affichaient parfois sur leur produits
des maximes comme : « Se méfier des contrefaçons », une phrase
utilisée par de nombreuses publicités de l'époque comme « Chocolat
Menier » pour ses affiches et ses plaques émaillées.
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Il
est étonnant de trouver cette maxime sur cette étiquette, qui à la vue de
cette fromagère, imite grandement l'étiquette de « Jort ». De
plus, les « Grandes Fromageries de Lort » dans le Calvados sont bien
connues pour leur inexistence... Avec ce fromage, au moins le client est
prévenu de l'existence d'imitations!
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L'origine
de ce fromage demeure inconnue, peut-être le mot "Lort" est dû tout
simplement à une faute d'orthographe.
En
effet, pour une erreur de frappe, une lettre inversée, une maquette tachée,
une poussière incrustée, une double impression, quelquefois les imprimeurs
mettaient de coté ou jetaient à la benne des lots entiers d'étiquettes. C'est
ainsi que des tyrosèmes bizarroïdes ont été récupérés et se retrouvent
maintenant dans les collections.
rédaction ED |
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09 juin 2012
Changer le nom du fromage :
indignation à Bougon
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Parmi
les manifestants, l'un des plus virulents avec les responsables de Terra
Lacta
n'était autre que le conseiller régional maire de Melle, Yves Debien.
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La coopérative laitière Terra Lacta a
annoncé son intention de remplacer Bougon par Saint-Loup sur ses
fromages en boîte vendus en grandes et moyennes surfaces. Indignation de
la population, des producteurs et des élus.
Le ton est monté, parfois très fort, hier
après-midi, sur le parking de la laiterie de Bougon. Un désaccord sur
fond d'intérêts divergents entre la coopérative laitière (Terra Lacta)
d'un côté et la population, les élus, les producteurs de l'autre.
Fondée en 1906, la
laiterie coopérative de Bougon est la plus ancienne des Deux-Sèvres. Le
nom de la commune sur les étiquettes des fromages de chèvre en boîte
distribués en grandes et moyennes surfaces, c'est donc fort logiquement
la vitrine, l'identité de la commune, une des fiertés du canton de La
Mothe-Saint-Héray.
(>>voir la vidéo)
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« On essaie de nous imposer le nom de
Saint-Loup alors que le fromage, dans la boîte, resterait le même,
expliquent Caroline Comte et Dominique Guérin, l'un thermisé à 30° et
l'autre pasteurisé. C'est incompréhensible et illogique, et qui nous dit
par ailleurs que ce n'est pas la première étape vers une baisse
d'activité de la laiterie de Bougon ?»
Légitime interrogation, mais
radicalement balayée par Patrick Charpentier, vice-président du groupe
laitier : « Il n'y a aucune crainte pour le site, au contraire nous
souhaitons le faire monter en puissance. Mais nous avons mené une
enquête de consommation qui a mis en évidence que Saint-Loup est une
marque plus porteuse d'image que Bougon. Notre objectif, il ne faut pas
l'oublier, c'est avant tout de ramasser du litrage pour vendre du
tonnage».
Et les dirigeants de Terra Lacta
d'affirmer que la marque Bougon subsisterait… « sur les produits de
caractères, en format 800 g ou 1 kg, car les vrais connaisseurs de
chèvre l'achètent à la coupe». Jean-luc Boderiou, directeur commercial
de Terra Lacta, lors de la discussion qui s'en est suivie dans une salle
de la laiterie, avait déjà devant lui les futures étiquettes de
l'ex-Bougon rebaptisé Saint-Loup.
Le conseiller régional, maire de
Melle, Yves Debien, s'est montré des plus virulents. Et la
ministre-députée Delphine Batho, tout en se contenant visiblement, n'a
pas caché sa désapprobation. Quant au maire d'Exoudun, Jean-Marie
Auzanneau, il a trouvé une formule percutante : « Votre projet, c'est
une spirale mortifère, pourquoi ne pas développer l'aspect historique,
la tradition, c'est la toute première laiterie, c'est là-dessus,
justement, qu'il faut communiquer».
Mais est-il encore temps de faire
renoncer la grosse coopérative à son projet ? Le pot de lait contre le
pot de fer…
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LLa Nouvelle
République |
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24 mai 2012
parution
du livre d'Emmanuel Gautier :
"Le
Royal Lisieux"
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Avec "Le
Royal Lisieux", souvenirs d’une laiterie du Pays d’Auge, Emmanuel
Gautier retrace l’histoire d’un projet entrepreneurial familial, développé
par son arrière-grand père, Paul Gautier, à Lisieux, au tournant du XIX°
siècle : de 1870 à 1980 avec quatre générations de beurriers, les
Établissements Gautier auront permis de valoriser une production agricole
locale en donnant du travail à des centaines de familles augeronnes, tout en
privilégiant un marché régional pour les produits laitiers fabriqués.
Dans sa belle
préface, Bernard Devert souligne d’ailleurs :
« Ce
siècle d’entrepreneuriat, de Pierre-Louis et Armand Gautier, fondateurs, à
Pierre Gautier, témoigne d’une volonté d’entreprendre exprimant clairement
les raisons de l’agir dans cette constante recherche de trouver de nouvelles
façons d’agir pour sécuriser l’emploi et valoriser le territoire : une
aventure qui, pour mettre en cohérence la richesse des biens avec celle des
liens, conserve une singulière et urgente actualité. »
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article
de Ouest-France
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Pour
se procurer le livre :
emmanuel_gautier@aliceadsl.fr
Tél
: 06 84 97 93 99
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ISBN
: 978-2-84706-506-0
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27 avril 2012
Le moulin de Grenon
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Le Moulin
de Grenon est situé en Suisse Vendéenne au bord de la Sèvre Nantaise sur la
commune de Saint Aubin des Ormeaux.

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plan
de situation
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La base
de ce moulin à eau date de 1740. Il servait à l'origine à moudre le blé. Il est situé sur un terrain de
850m2 dont 150m2 sur l'autre rive, il est constitué de
trois niveaux.
Au rez-de-chaussée, une grande pièce abrite une partie de l'ancien
mécanisme et une belle cheminée en granit. Le chenal de la roue traverse
encore le bâtiment.
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Dans
les années 1920, la bâtisse est utilisée en fromagerie. En
1927 et 1931, elle est référencée "laiterie Industrielle".

Durant
les années 1934, 1936, 1937, cette publicité témoigne de son appartenance au
groupement créé par Léopold Gallais, qui fabrique des yaourts et des fromages
à la laiterie
de Montfaucon sur Moine, dans le Maine et Loire.
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07 avril 2012
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Lorsque les chérubins
participaient au
marketing normand.
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En
ce début de XX° siècle, voici une tendre façon de présenter les bons
fromages normands. Ces doux chérubins, aux
joues potelées et au cœur tendre posent avec simplicité et innocence au
milieu d'un monde fromager qui nous laisse rêveur !
Ces
cartes postales s'accompagnent toutes d'un poème épicé de Charles Pitou.
Celui
ci-dessous est mon
préféré. Il accompagne une carte représentant un homme se pinçant le nez.
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Nos
fromages - Le livarot
Par
sa pate onctueuse et par son fort "ramage"
Il
délecte plus d'un gourmand;
C'est
pour lui qu'on fit la Chanson du Bon Fromage
Si
célèbre au pays normand.
Charles Pitou
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Nos
fromages - Le fromage de l'Aigle
Si
votre belle-mère, enfin, suivant la règle,
De
tant d'ans révolus sent le nombre finir,
Mettez
lui sous le nez un fromage de l'Aigle,
Soudain
vous la verrez d'un seul coup revenir!
Charles Pitou
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Fromages
Normands
"Qu'ils
viennent de Saint-Cyr, de l'Aigle, ou de Lisieux,
Pourquoi
dire leurs noms ? tous sont délicieux.
Et,
sachant que pas un gourmet ne les dédaigne,
Ainsi
que le bon vin, ils se passent d'enseigne."
Charles Pitou
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Nos
fromages - Le camembert
En
appuyant le pouce, appréciez vous-même
Si,
dans sa boite, il n'est ni trop sec, ni trop mou.
Et,
le prenant ainsi, quel régal ! Pour le coup
Le
camembert est un poème !
Charles Pitou
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Etiquettes
provenant de la fromagerie Van Loyen, au Domaine de la Croix Rouge, dans la
vallée de l'Iton à St-Ouen-sur-Iton près
de L'Aigle (Orne)
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rédaction ED |
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05 avril 2012
Bailleul et La Flandre
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Bourse des collectionneurs :
à la recherche de pièces de musée
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Pierre
Caucheteux, de Steenvoorde, a trouvé de quoi enrichir les collections du musée
des Métiers anciens disparus et oubliés.
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Dimanche, la bourse des
collectionneurs organisée par la Pétanque casseloise ...
...a réuni trente-six
exposants à la salle des fêtes. Parmi les nombreux visiteurs, Pierre
Caucheteux (le fils), de Steenvoorde. « J'ai acheté des étiquettes de
Camembert de Normandie, des cartes postales de coiffes normandes, des gravures. »
Elles rejoindront le musée des Métiers anciens disparus et oubliés de
Saint-Aubin-de-Terregatte, en Basse-Normandie, près du Mont Saint-Michel.
« C'est ma passion. J'y ai adjoint une cave cidricole traditionnelle, métier
pour lequel je me suis formé pendant cinq ans dans l'esprit des Compagnons du
devoir », précise le collectionneur ravi de sa venue à Cassel.
jeudi 05.04.2012
- La Voix du Nord
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18 mars 2012
"J'ai
le plaisir de vous informer du lancement d'un appel à souscription pour la
production de mon
prochain documentaire animé
intitulé
Benjamin Rabier. Le
montant des soutiens débute dès 5 euros.
Vous trouverez sur ce lien toutes les informations concernant le projet
ainsi que les actualités qui y sont liées :
Votre soutien nous aidera à financer la séquence d'ouverture du film en
animation 2D
où
l'on va reconstituer le Marché des Halles de Paris en 1900 à
partir de vieilles cartes postales,
archives
photos, d'iconographies de l'artiste et de films d'animations de l'époque.
Elle permettra au spectateur :
De découvrir un lieu mythique de Paris aujourd'hui disparu
De mieux comprendre la personnalité de Benjamin Rabier
D'inviter le spectateur à faire un voyage dans l'imaginaire de
l'artiste.
Tout le monde connait la Vache qui rit mais personne ne connait l'artiste
qui se cache derrière ce logo mondialement connu.
A la manière de mon précédent documentaire sur O'Galop,
illustrateur et inventeur du Bibendum Michelin,
le
film Benjamin Rabier est un portrait d'un artiste hors norme sous la
forme d'un documentaire animé
qui
explore son univers graphique, raconte
sa vie et son œuvre en utilisant des techniques d'animation 2D.
Benjamin Rabier (1864-1939) fut illustrateur pour la jeunesse,
affichiste, pionnier du dessin animé bien avant Walt Disney,
créateur
de Gédéon le canard et de la Vache qui rit. Il est devenu pour la postérité:
« L’homme qui fait rire les animaux ».

Cette
souscription permettra de lancer la production de cette séquence du film et se
déroule sur 60 jours.
Pour
ceux qui ne connaissent pas Ulule, il s'agit d'une plate-forme de production
communautaire
qui
permet à tout à chacun, particulier
ou entreprise, de participer à la production d'un projet.
En
retour de votre soutien, nous vous proposons différents types de contre-parties
: DVDs, affiches, livrets,
CD
de la musique du film, invitations à l'avant-première, sur le lieu de
fabrication du film,
organisation
d'atelier de sensibilisation au cinéma d'animation ...
J'espère
que vous trouverez ce projet suffisamment excitant et singulier pour avoir envie
d'y prendre part
et
de faire suivre ce message au maximum. Nous
restons à votre disposition pour toutes informations complémentaires."
Vous
êtes les bienvenus. Marc Faye, réalisateur et l'équipe Novanima
--
Novanima
Productions - 0553352012 - alienor@novanima.com - skype : novanima.prod
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14 mars 2012
Albi. René possède 18 500 étiquettes
de fromage
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Cet
homme est tyrosémiophile, le seul recensé dans le département du Tarn. Est-il
atteint d'une maladie rare ? Non, rassurez-vous. Le seul virus qu'a pu attraper,
René Souplet, 70 ans, est celui de collectionner les étiquettes de fromage.
Ce
retraité de la gendarmerie, Lorrain d'origine et Albigeois d'adoption, en possède
plus de 18 000 à son actif ; 18 500 pour être exact. Des simples étiquettes
de grandes surfaces, en passant par les trésors des localités jusqu'aux
vignettes étrangères, le collectionneur s'est construit un véritable temple
de la fromagerie dans le petit bureau de son domicile.
Du
19e siècle à aujourd'hui, la découverte des marques de fromage vaut le détour.
« Ma fille cadette stockait quelques étiquettes quand elle était petite. Un
jour, j'ai retrouvé cette boîte en me demandant si ces objets avaient de la
valeur. Je me suis alors intéressé à la tyrosemiophilie (NDLR du grec Tyros :
fromage, Sémios : signe, Philos, ami) et j'ai adhéré au club C.T.F.».
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36
nationalités différentes
Depuis
20 ans, l'homme recueille, échange et range ses images dans des classeurs,
minutieusement alignés sur ses étagères. « Toutes mes étiquettes sont classées
par départements, pays ou marques et archivées sur l'ordinateur ».
Reconnu
dans la région et au niveau national, René fait son petit marché auprès
d'autres collectionneurs, brocantes et proches. Le bouche à oreille tourne
notamment à plein régime. Mais ce n'est pas pour l'argent que l'homme tient
cette grande collection, mais bien pour le plaisir. « Il n'y a pas de cotes
pour les étiquettes de fromages, comme il pourrait y en avoir pour d'autres
objets. Les seules vignettes que j'achète sont celles répertoriées au club de
France pour la modique somme de 10 centimes ».
Outre
l'aspect esthétique des affichettes, René Souplet admire également le côté
historique de certaines. « L'étiquette idéale est celle qui raconte une
histoire » explique le tyrosémiophile qui possède une belle enseigne couvrant
les meules de Beaufort ou encore les fameuses stars « Vache qui rit ». « Des
pièces rares » pour le connaisseur qui enregistre aussi 36 échantillons de
nationalités différentes. « J'ai des vignettes russes, arabes, belges,
allemandes etc. ».
Par plaisir de les regarder, analyser et échanger, René
Souplet, le collectionneur tyrosémiophile compte bien faire perdurer sa passion
du « textile fromager ».
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Depuis
qu'il est retraité de la gendarmerie, René Souplet s'est pris de passion pour
la Tyrosémiophilie./Photo DDM Jean-Marie Lamboley.
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Le
chiffre : 208
tyrosémiophiles>En
France. C'est le nombre recensé
par le C.T.F. où est affilié René Souplet. Certains grands collectionneurs
possèdent jusqu'à 80 000 étiquettes de fromage. La région compte 3
collectionneurs, dans le Tarn, en Aveyron et dans le Tarn-et-Garonne.
sources
: http://www.ladepeche.fr
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13
février 2012
Une
journée sera vouée aux
« Fromages de l’Yonne,
d’hier et d’aujourd’hui »
Dimanche
19 février, à Dixmont (Yonne)
Conférences, projections et expositions encadreront un repas au cours duquel on
dégustera de nombreux fromages (Soumaintrain, Saint-Florentin, Chaource, Vézelay,
fromage blanc, etc.) provenant de divers producteurs ! La journée sera animée
par les tyrosémiophiles Patrick Bertin et Gérard Machavoine ; un parcours
historique et géographique à travers les terroirs fromagers de l’Yonne sera
commenté par Francis Marquet, professeur à l’Ecole de la Brosse ; enfin,
Jeanne Leclère, fermière à Soumaintrain, viendra nous présenter ses
fromages...
- Rendez-vous en salle des fêtes à partir de 10 h 30.
- 12 h 30, Repas avec dégustation de fromages et de desserts lactés variés.
Vins de l’Yonne appropriés.
Tarifs : 20 €. Réservation auprès de Georges Ribeill (03 86 96 05 37)
ribeillgeorges@orange.fr
Partage des passions et échange des savoirs, convivialité et détente
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07
février 2012
Zoom
sur l'étiquette "Thierry"

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Cette
étiquette de fromage type "camembert", à 50% de matière
grasse, a été réalisée et imprimée par l'entreprise Garnaud à Angoulême
pour la Coopérative
Laitière de Chaunay dans la Vienne.
L'inspiration
de ce tyrosème ne fait aucun doute, il s'agissait de rappeler à travers
cette étiquette le monde chevaleresque de "Thierry la Fronde",
héros du feuilleton diffusé sur l'ORTF de 1963 à 1966.
En
fond de plan le château-fort de Montbrun en Haute-Vienne apparaît
inversé sur l'étiquette.

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Concernant
les figurines, il s’agit de sujets médiévaux en plastique fabriqués
par la marque "Starlux" :
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Le cavalier sur le cheval au galop à droite date de 1959 (réf. 6101 bis)
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Le cheval en harnois à gauche a été fabriqué à partir de 1963 (réf.
6101 hg)
-
Le piéton date de 1964 (réf. 6052)
L'étiquette
date donc au plus tôt de 1964. |
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rédaction ED |
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29
janvier 2012
exposition
sur "La Vache Qui Rit"
auquel
participe Marcel Gousseau

un
des tableaux exposés par Marcel
de
mars à septembre 2012 à la maison des maîtres de digues
Pôle
culturel & touristique du marais Poitevin
7 rue
de la coupe du rocher
à Chaillé
les Marais - en Vendée, entre
Luçon et Marans
Maison.maitrededigue@orange.fr
Tél
02 51 56 77 30
horaires
d'ouverture :
de
10h00 à 13h00 et 14h00 à 18h00
fermé
le samedi sauf en juillet & août
comptez 1h30
de visite si l'on veut tout lire et regarder
Marcel
Gousseau est preneur d'autres
documents ou informations pour les 90 ans de la VQR
Soit
par Email à lumamogette@orange.fr
ou
soit par courrier à Marcel Gousseau - 45 Boulevard Anatole France - 53100
Mayenne.
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20
janvier 2012
Un
éclairage sur plusieurs étiquettes

41
- Laiterie de la Fontaine
à
Rhodon
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76
- Laiterie de
Lillebonne |
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60
- Loevenbruck
à
La Chapelle des pots
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14
- Henri Serey
à
Putôt en Auge |
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14
- Ets Godefroy
à
Orbec en Auge
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14
- Laiterie Coopérative
de
la Région de Bayeux |
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14
- Marcel Lefebvre
à
Saint-Pierre-la-Vieille
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76
- Laiterie Coopérative de la Vallée de
la Saane à Royville |
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59
- Les Fermiers Réunis
à
Steenvoorde
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sources
: Sophie & Jean-Christophe Gérard
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