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12 octobre 2016 |
Déterminées :
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54 - Fromagerie de Noviant-aux-Prés |
14 - Fromagerie de Saint-Martin-de-Bienfaite Fr |
49 - Fromagerie de Chalonge à Châtelais |
49 - L. Gallais & Cie à Saint-Germain-sur-Moine |
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54 - Fromagerie Marizien à Ménil-la-Tour |
54 - Fromagerie Marizien à Ménil-la-Tour |
54 - Fromagerie Marizien à Ménil-la-Tour |
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92 - Pellar et Meur Frères à Fontenay-aux-roses |
57 - Fromagerie |
55 - Fromagerie Tanière-Dubois à Maxey/Vaise |
55 - Fromagerie Tanière-Dubois à Maxey/Vaise |
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014
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![]() Retrouvez le reportage TV sur le musée de Marcel Gousseau : http://tvvendee.fr/le-journal/edition-du-jeudi-19-mai-2016_19052016?cid=68776 |
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15 mars 2016 | |||||||||
Bocage ornais : quand chaque village avait son fromage... | |||||||||
Originaire de l'Orne, Gérard Clouet profite de sa retraite pour mener des recherches sur les anciennes fromageries du département. Son enquête l'a mené jusqu'à Champsecret... |
De Saint-Bômer (Orne) à Mantilly en passant par Champsecret et La
Ferté-Macé, de nombreuses communes du Bocage ornais possédaient leurs
propres fromageries et donc leurs propres étiquettes.
Désormais à la retraite, l’Ornais Gérard Clouet effectue actuellement des recherches sur les anciennes fromageries de l’Orne. Si beaucoup d’entre nous connaissent le fameux « Camembert du Champ secret », qui se rappelle aujourd’hui du camembert « Le Poilu » ? Illustres Champsecrétois Certes, l’étiquette de ce fromage était produite dans le Calvados, mais le producteur était bel et bien originaire de Champsecret, affirme Gérard Clouet. « Il était un des enfants de la famille Barré qui a beaucoup contribué au développement de la fabrication de fromage dès la fin du XIXe siècle ». Mais il n’a pas été le seul. « Deux autres natifs de Champsecret ont créé des fromageries en dehors de la commune », poursuit Gérard Clouet, qui recherche actuellement des témoignages et des descendants de ces familles qui ont marqué l’économie rurale de la fin du XIXe et du XXe siècle, « non seulement à Champsecret mais aussi sur bien d’autres communes du Bocage ornais ». Gérard Clouet profite de sa retraite pour mener des recherches sur les anciennes fromageries du département. Son enquête l’a mené jusqu’à Champsecret, d’où est originaire le producteur du camembert « Le Poilu ». |
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Champsecret, une tradition fromagère
Dans ses recherches, l’ex directeur régional de l’environnement pour la Basse-Normandie s’est tout particulièrement intéressé au camembert « Le Poilu », dont l’étiquette a été apposée par Pierre Barré sur les camemberts qu’il fabriquait au Mesnil de Lieury près de Saint-Pierre-sur-Dives.En quoi cette production implantée dans le Calvados peut-elle bien concerner l’Orne ?Gérard Clouet s’explique : Pierre Barré (1863) est le cinquième enfant d‘une famille de Champsecret qui a compté dans la tradition fromagère de cette commune. En effet Isidore (1862) le quatrième enfant va créer dans la ferme familiale de « La Vente » une fromagerie qui connaîtra un essor important. Elle sera ensuite rachetée dans les années 1930 par l‘entreprise Rigaud qui elle-même sera reprise en 1980 par Vallée |
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A Saint-Bômer, la fromagerie des Forges
Eugénie (1869), la dernière des enfants Barré, après avoir travaillé comme son frère Esther (1857) avec Isidore à la fromagerie de la Vente, va épouser Victor Hochet de Saint-Bomer-les-Forges, bourrelier de profession. Forte de son savoir faire elle crée avec son mari, la fromagerie des Forges. Cette dernière après avoir été rachetée dans les années 30 par Brand et Levasseur puis par Préval en 1965, rejoindra en 1980 le groupe Besnier. Le passionné d’histoire poursuit : D‘autres familles de Champsecret ont, elles aussi, compté et marqué le paysage de l‘économie rurale par leur production de fromages : Langlois-Corvée à la ferme de « Bellevue », et Bigeon-Masseron au « Gros Douet du Moulin
On en fait toujours un fromage !
Ce savoir faire dans la fabrication de fromage s’est aussi exporté hors de Champsecret via des natifs de cette commune. « Alfred Rabarot (1862) s‘est installé dans le Calvados et a produit des camemberts à Lieury et Mittois. Quand à Victor Amiard (1846) après avoir exercé le métier de tourneur sur bois à Saint-Pierre d‘Entremont, il y crée dans les premières années de 1900, une fromagerie au lieu dit « La Noirée ». Elle sera reprise vers 1911 par un industriel nantais avant de rejoindre le groupe Brand-Levasseur », ajoute Gérard Clouet. Aujourd’hui cette tradition de production fermière de fromage née à la fin du XIXe perdure encore à Champsecret à la ferme de « La Novère ». Appel à témoins Insatiable dans ses recherches, Gérard Clouet s’est associé à Michel Lebec, de Vimoutiers, qui a initié des recherches identiques sur l’ensemble du Pays d’Auge. Nous coordonnons nos recherches pour optimiser au mieux nos efforts
Un travail de fourmi comme le confie ce retraité hyperactif.
Les sources d‘informations sont assez difficiles à mobiliser. Peu ou pas d‘archives disponibles, et des témoins qui se raréfient, c‘est pourquoi je cherche tout document et toute source d‘information : descendants des familles de fromager, employés, distributeurs… me permettant d‘avancer
lepublicateurlibre.fr - Valentin Biret
Le Poilu et le camembert Le camembert « Le Poilu » a été créé par un homme originaire de Champsecret. Une étiquette de camembert ancienne, dont le producteur est originaire de Rouellé, entre en résonance avec les commémorations autour du centenaire de la première guerre mondiale. Gérard Clouet explique la relation entre le « Poilu » et le camembert. Le camembert doit en partie sa réputation à la première guerre mondiale. Auparavant il n’était essentiellement consommé que dans l’ouest et dans la région parisienne grâce aux réseaux de transport par voie ferrée. Un cadeau victime de son succès Pendant les quatre premières années de la guerre, comme beaucoup d’autres fromages régionaux, il était souvent glissé dans les colis que les familles envoyaient aux hommes mobilisés sur le front. Ce n’est que vers la fin 1917, que l’intendance militaire, sollicitée sans succès à maintes reprises par les fabricants de camembert normands, finit par passer ses premières commandes et le faire entrer dans « l’ordinaire » du poilu. Le succès est immédiat au point que les producteurs normands ne peuvent satisfaire seuls aux commandes. Un million de camemberts par mois Il faut faire appel aux fabricants de toutes les régions laitières pour fournir de l’ordre de 1 000 000 de camemberts par mois, sans pour autant subvenir totalement aux besoins de l’armée. La notoriété qu’il acquiert au cours de la seule année 1918 va faire naître le mythe « Camembert ». De l’hommage de Clemenceau à la conquête du monde Cette réputation va se poursuivre et perdurer avec le retour des soldats une fois la guerre achevée. En s’adressant en 1919 aux anciens de la cote 504 près de Verdun, Clemenceau ira jusqu’à saluer le camembert, cet autre ami des hommes aux heures difficiles
Le camembert n’a plus été plus l’apanage de la seule Normandie.
Quasiment toutes les régions françaises se sont lancées dans sa
fabrication. Il est devenu un fromage populaire incontournable sur
toutes les tables partout en France. L’export vers les États-Unis et
Le Royaume-Uni s’organise principalement à partir du Havre.
Gérard Clouet Sources : Les Poilus et les fromages. Etienne de Banville. Éditions du Rosel. 2008. Fromages et fromagerie du pays d’Auge des années 1870 à nos jours. Michel Lebec. Éditions de la Viette. 2012. Archives départementales de l’Orne. |
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13 mars 2016 | |||||||||
Bar-le-Duc : immersion dans la foire aux vieux papiers Qu’ils soient marchands ou clients, ils sont tous collectionneurs et poussent la passion jusqu’à venir tous les ans à la foire aux vieux papiers. |
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![]() Bernard Wagner et Alain Fresne |
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Quand il franchit la porte du hall des Brasseries pour la foire aux
vieux papiers et collections, on a l’impression que le Barisien
Bernard Wagner revit à mesure qu’il va pouvoir replonger dans le
passé. Son passé, sa passion, ce sont les étiquettes de fromage. Monsieur est tyrosémiophile. Et depuis belle lurette. « Oh lala, j’ai travaillé pendant 43 ans dans les fromageries, alors… ». Alors, à 70 ans, Bernard Wagner est à la tête d’une collection de plus de 4.000 étiquettes. « Que des meusiennes, qui ne concernent que des fromages fabriqués en Meuse. » La première ? « C’était du Port-Salut de chez Maison Duval à côté de Revigny, une des plus anciennes fromageries industrielle d’Europe. » C’est là que Bernard a débuté tant sa vie professionnelle que sa vie de collectionneur, jamais rassasié. Ce samedi, sur un stand de la foire aux vieux papiers il a trouvé une perle rare. « Une étiquette de camembert de la fromagerie de Consenvoye. Je la connaissais, ça fait 15/20 ans que je la cherche. » Pour 150 euros, elle est venue compléter sa collection grâce à Alain Fresne, un marchand venu de Normandie. Celui-ci n’a d’ailleurs pas perdu une miette des connaissances de son acheteur pour compléter les données concernant une étiquette de brie. « En les regardant on peut les dater. Celles qui n’ont pas la mention du taux de matière grasse sont antérieures à 1935 », explique le passionnant passionné dont la plus ancienne étiquette date de 1895. Et toutes les étiquettes ont une histoire « les connaître, voilà ce qui est intéressant pour les collectionneurs. » |
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Karine Diversay, L'EST REPUBLICAIN | |||||||||
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02 mars 2016 | |||||||||
Exposition
le 20 mars à Soissons (02)
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29 février 2016 | |||||||||
Portes
ouvertes le 16 mai à Maillé (85)
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03 février 2016 |
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La Ferme des 3 rivières | |||||||||
La "Ferme des trois rivières" se
situe au nord ouest de l’Eure-et-Loir, au point de confluence de
l’Avre et du ruisseau de Lamblore (un des principaux affluent de l’Avre), et également à l'endroit d’une source se jetant dans le lamblore. |
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Vers les années 1920, Georges Bernollin s’installe dans le moulin de Launay et y produit pendant quelques années des camemberts. Sur l’étiquette de fromage, la "fromagerie du Petit Launay", est représentée en pleine activité, sa haute cheminée crachant de la suie. Le paysage de l’étiquette représente une vue du lieu dit "Launay"en direction de l’ouest. C’est ainsi qu’au premier plan sur la gauche se cache derrière la haute haie le Château de Montuel, et en fond de plan plusieurs édifices se détachent de l’horizon : en haut à gauche le clocher de l’église de Rueil la Gadelière, le troisième monument est sans doute l’église Notre Dame de Verneuil sur Avre, et en haut à droite la tour de l’église de La Madeleine à Verneuil sur Avre. La vue, les chemins, et les cours d’eau sont schématisés, mais représentent une vue générale de l’ensemble. Des informations complémentaires sont les bienvenues. rédaction ED |
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27 Janvier 2016 | |||||||||
Le Maillot Jaune | |||||||||
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Lors du tour de France de 1952, à la 10éme étape, le 5 juillet, l’Italien Fausto Coppi fausse compagnie aux autres coureurs lors de l’ascension de l’Alpe d’Huez, et endosse le maillot jaune. Le lendemain, l’étape reliant Bourg-d’Oisans à Sestrières en Italie, avec la fameuse montée du col du Galibier (2556 mètres), voit Fausto Coppi creuser l’écart avec ses poursuivants. Il lâche ses adversaires à 7 km du sommet du Galibier, double Giully, poursuit seul, et frappe un grand coup en reléguant le deuxième, l’espagnol Ruiz, à plus de 7 minutes. L’étiquette de fromage est inspirée d’une photographie diffusée dans la presse et prise lors de la montée du col du Galibier.
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La presse de l’époque ne manque pas d’éloge sur la performance de Coppi lors de la montée du col : "D’un coup de pédale rageur, il a faussé compagnie à ses camarades. Le voilà qui s’élance à la poursuite de Guilly, dans un style qui ne fait aucun doute sur l’issue de sa tentative. A chaque fois que Coppi a voulu mettre ainsi "tout le paquet", il a irrésistiblement creusé un écart et ses adversaires n’ont jamais eu la tentation de s’accrocher à lui. C’est en quelque sorte sans le rechercher qu’il a doublé sa supériorité physique d’un ascendant psychologique." Cette étape cruciale lui permet d’obtenir 20 minutes d’avance au classement général devant Alex Close et Andrea Carrea, une avance qu’il va gérer jusqu’à l’arrivée triomphante le 19 juillet aux Champs Elysées. Après cette étape, le Tour de France 1952 est quasiment terminé. Inquiets, les organisateurs décident de doubler le prix offert au 2ème du général à Paris. rédaction ED |
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16 Janvier 2016 | |||||||||
Le Triomphe | |||||||||
Le Monument aux Girondins, appelé aussi "Le Triomphe", édifié entre 1894 et 1902 sur la place des Quinconces à Bordeaux, est constitué d’une colonne et de deux fontaines monumentales, qui commémorent les Girondins de la Révolution ainsi que la République. La première fontaine représente une femme tenant un sceptre, symbolisant la République. La deuxième fontaine (le bassin de la Concorde) est celle qui a inspiré l’étiquette de fromage ci-jointe. Ce bassin se compose d'une statue mi-drapée, le torse nu comme la Vérité. Elle étend un bras protecteur sur un groupe d'hommes qui s'embrassent, c'est la Fraternité. A droite, l'Abondance répand à profusion les fruits de la terre. Un chérubin chevauche un poisson, les Grâces l'entourent et forment une ronde. Ce sont les symboles du Bonheur et de la Vie, conséquences de la Concorde et de la Paix. Aussi des chevaux-poissons traînent le char de la Concorde. Les personnages en bronze constituant cette fontaine ont été vendus 30 francs le kilo aux Allemands (le prix de la ferraille à cette époque) pour être fondus, et déboulonnés en 1943. Les 34 sculptures disparaîtront ainsi du paysage Bordelais durant de nombreuses années. Elles seront miraculeusement retrouvées intactes à Angers puis ramenées à Bordeaux ou elles seront longtemps stockées au pied du pont d'Aquitaine. Il faudra tout de même attendre 1982 pour que les célèbres chevaux marins, les allégories, les chars de la République et de la Concorde retrouvent leurs bassins au pied de la colonne. Le camembert "Le Triomphe" est déposé en mars 1912 par M. Arthur Blondel, fromager à Le Breuil-en-Auge. rédaction ED |
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13 Janvier 2016 | |||||||||
Le Corsaire | |||||||||
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"La Confiance" est un petit trois-mâts célèbre pour avoir été
commandé par le corsaire Robert Surcouf. Ce voilier, du style frégate
légère, est lancé à Bordeaux en 1799, et armé de 18 canons. Robert Surcouf
le mène dans une campagne de plusieurs mois dans l'océan Indien qui lui
permet notamment de capturer le Kent, un navire de 1.200 tonneaux portant
40 canons, lors d'un combat resté célèbre par sa rapidité et qui a fait
l’objet d’un tableau d’Ambroise-Louis Garnay, exposé au Musée National de
la Marine à Paris, et dévoilé ci-dessus. Les corsaires, écumaient les mers jusqu’au 19e siècle, et attaquaient tout navire marchant battant pavillon ennemi. Contrairement aux pirates, les corsaires exerçaient une activité légale. Munis d’une lettre de marque de leur roi. Ils s’attaquaient en temps de guerre aux navires marchands ennemis pour récupérer leur cargaison. La prise était ensuite vendue aux enchères et l’État récupérait une partie du produit de la vente. Ces marins utilisaient des navires de petite taille, rapides, manœuvrants et discrets comme des flûtes ou des cotres. Au contraire des pirates, les corsaires respectaient les vies et les biens personnels avec des combats souvent très courts et peu meurtriers. Leur but étant de s’emparer du navire et de sa cargaison et d’obtenir une rançon de l’équipage. |
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rédaction ED | |||||||||
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06 Janvier 2016 | |||||||||
La Boutonnière de Bray | |||||||||
Sur ce troisième tome de "La Boutonnière de Bray" qui vient de paraître, vous trouverez plusieurs articles intéressants dont un manifeste sur Gervais, Pommel, Danone, et le pays de Bray. ![]() |
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